Rp collectif de noël.

La neige, le froid, les grosses doudounes dans lesquelles tout le monde essaye de se réchauffer ... Sauf moi. Mon merveilleux système immunitaire me défend contre le froid, en gros, il fait des températures négatives, et je porte une robe dos nu violette. Hier, dans nos chambres, on a tous reçus une jolie lettre -enfin, une lettre assez décorée pour nous faire oublier que ça vient de l'administration de cette école- nous disant que le lendemain, on était tous invités au Lac pour Noël. En d'autres termes, que je vais pouvoir me marrer de la tête de tous les autres emmitouflés sous quatre ou cinq couches de fringues alors que je serais aussi à l'aise que sur une plage en été.

Donc, je refermais la porte de ma chambre un peu avant 18h, mes patins dans une main. N'oubliez pas que j'ai été élevé par des selkies - des créatures en apparences humaines mais capables de se transformer en phoques - et, vu que je déteste l'eau, j'ai appris à patiner à la place. Je dépliais mes ailes une fois arrivée dehors et m'envolais jusqu'au Lac. Je me posais une fois de plus sur la tête du Dragon, ayant ainsi le loisir de regarder tout le monde s'affairer en bas.

L'eau, la glace, ... le feu. J'étais sûre que si je brûlais toute la glace du Lac, tout le monde tomberait à l'eau ... non, ce n'est pas un très bon cadeau de Noël. Je chaussais mes patins et m'envolais sur la piste de patinage, pour pouvoir m'échauffer avant que tout le monde squatte la piste.

Un type m'annonça qu'il lui faudrait encore deux petites minutes pour pouvoir ouvrir la piste, au bout desquelles je m'élançais. Le patinage : c'est comme le vélo, ça faisait bien une année entière que je n'avais pas chaussé mes patins, toutes les figures que je connaissais revenaient dans ma mémoire. Mais je voulais d'abord savoir si d'autres élèves savaient patiner, alors j'observais l'entrée de la piste, à l'affut.

Noël arrivait à grand pas sur Orkna, et c’était une bonne occasion de présenter aux autres notre appréciation et de savoir que l’on est apprécié nous-même. Encore une fois, la soirée était longue et les deux jumelles démoniaques dormaient profondément. Lilianne se leva la première, sauf que quand elle vit sa sœur en train de rêver. Elle attendit son réveil patiemment, pendant près d’une demi-heure. Quand Rikù se réveilla, elle était totalement dans le cirage, comme si on l’avait assommée. Lilianne embrassa sa sœur, ce qui la réveilla complètement instantanément. Elles restèrent au lit plusieurs minutes à discuter et s’embrasser. Puis l’heure tournant un peu trop vite à leurs goûts, elle décidèrent de s’habiller et de faire leur journée dehors.

Pour sortir, elle s’habillèrent de façon totalement différente. Rikù ne s’était pas fais ses couettes habituelles, préférant avoir les cheveux détaché. Elle s’équipa d’un blouson en cuir chauffant par-dessus sa tenue de rockeuse habituelle. Au lieu d’une mini-jupe, elle préféra un pantalon moulant en cuir blanc (venant d’une espèce particulière en enfer) pour mieux conserver la chaleur, et des chaussures de marche pour la neige. Lilianne l’échaudé, quant à elle, sortit avec presque une tenue plus légère qu’a l’accoutumé. Elle garda ses couettes habituelles, pris une mini-jupe plus courte qu’a l’accoutumé (c’est possible ça ?) noire avec des motifs rouge, un corset noir ouvert de tout en bas jusqu'à la poitrine, avec décolleté et des mitaines de motard. Ses chaussures étaient toujours les mêmes. On pouvait ainsi facilement remarquer que Rikù était facilement gênée par le froid, alors que Lilianne non.

Les jumelles se dépêchèrent à arriver à la patinoire du lac. Pour plus de rapidité, Lilianne porta sa sœur en volant sous sa forme de démon. Quand elle se posèrent, c’était sur un rebord en hauteur. Lilianne eut une idée : enfiler les patins qu’elles avaient emprunté, et sauter de la où elle était pour faire une entrée des plus remarqué. Rikù répondit par un sourire et un baiser. Les deux enfilèrent leurs instruments de grâce, et d’élancèrent dans le vide, tout en faisant nue pirouette jumelée. Les deux devaient faire attention à ne pas briser le lien des menottes qui les unissait.

A l’atterrissage, elles étaient les seules de ce coté de la piste. Peu de monde était déjà arrivé à l’heure exacte de l’ouverture de la piste. Rikù aperçu au loin une fille avec une tenue aussi, voir moins légère que celle de sa sœur, ce la frigorifia sur le coup :

- Brrrrr !!! Elle n'a pas froid à se balader par un froid pareil avec une tenue aussi légère !? Faut être dingue pour sortir comme ça aujourd’hui !!!

- Oserait-tu insinuer que je suis dingue ma sœur?

Lilanne avait répondu à Rikù en faisant un sourire malicieux. Celle-ci répondit :

- Bah toi c’est pas pareil. T’est juste une dingue de musique…

Puis elle embrassa à nouveau sa sœur. Même si certain pouvait trouver ça bizarre de les voir s’embrasser tout le temps, pour elle s’était juste une marque d’affection comme une autre, comme une tape sur l’épaule, un sourire,… Sans faire trop attention là où elles patinaient les jumelles faisaient de belle figure à deux. Leurs menottes auraient dut les ralentir, mais au lieu de ça, c’est comme si elles n’étaient pas attachées, en parfaite harmonie l’une avec l’autre.

[Corrigé by Morcrake]

Après avoir reçu la lettre dans leur chambre, les plus jeunes jumeaux Darck s’étaient réjouis de cette idée. Ensembles, ils étaient partis en ville pour chercher des cadeaux pour tout le monde. Sans vraiment se compliquer la vie, ils étaient surtout partis à la confiserie du coup se serait bonbons pour tout le monde. Les paquets étaient prêts attendant juste d’être ouverts par leurs propriétaires.

Le soir même dans leur chambre, Ruine et Peine se préparèrent avec soin. C’était quand même une bonne nuit qui les attendait, ils ne pouvaient pas se contenter d’y aller comme d’habitude. Sortant d’une bonne douche prise ensemble, ils attrapèrent les vêtements qu’ils avaient préparés à l’avance pour l’occasion.

Ruine, avait enfilé un pantalon noir en cuir avec une chemise noire. Comme c’était en extérieur, elle enfila par-dessus un manteau de cuir emprunté à son grand frère. Elle se recoiffa adaptant le style de Peine. A coté de son frère qui était encore à poil on aurait pu la prendre pour lui. Puis elle se mit à sourire en regardant son jumeau.

Peine, était plutôt enthousiaste par l’idée qu’il avait trouvé pour la fête de noël. Quand sa sœur fut enfin prête, elle s’approcha de lui et commença l’opération. Elle l’aida à enfiler ses sous vêtement. Ensuite étape plus difficile enfiler la robe, ils avaient adopté pour une robe lolita gothique. Ruine l’aida donc à attacher le corset et à l’enfiler sans la déchirer. Puis il enfila seul le reste des vêtements. Assise sur un lit, derrière lui et face au miroir, Ruine le maquilla et le coiffa de façon à l’efféminer le plus possible.

C’est ainsi habillés qu’ils arrivèrent tous les deux sur les lieux de la fête. Pour commencé ils se dirigèrent vers le sapin et y déposèrent les cadeaux. Il y avait une poche de bonbon emballée dans un papier jaune pour, leur grand frère et sœur, Rikù et lilianne. Dickens lui avait des chocolats à la place. Ruine déposa le dernier cadeau qui était réservé à Dagus. C’était une boite avec des bonbons à l’intérieur. Elle y avait ajouté sa culotte qu’il lui avait déjà volée et un petit mot. « Viens me retrouvé un de ces jours dans ma chambre ». Elle n’avait pas signé, la culotte suffisait parfaitement pour qu’il trouve qui lui avait fait ce cadeau.

Les cadeaux déposés, ils enfilèrent leurs patins et partirent rejoindre la piste. Ils cherchèrent des yeux s’il y avait des connaissances. A la vue des jumelles, ils glissèrent sur la glace pour les rejoindre impatients de s’amuser. Peine malgré sa robe n’était pas du tout gêné, il jouait même bien son rôle. Il se déplaçait avec la grâce d’une fille. Pour ceux qui ne le connaissaient pas il était impossible de deviner qu’il était un garçon. Pour ceux qui le connaissaient il était difficile de ne pas le prendre pour sa sœur. Il en était de même pour Ruine. Arrivés au niveau des jumelles. Ils leur firent un salut énergique.

- Salut, les filles prêtes à s’amuser ?

Les deux avaient parlé d’une même voix comme ils faisaient souvent.

[Corrigé par Emiko]

Mel et Lam avaient reçu une invitation à une fête donnée par le pensionnat pour Noël. Avec joie elles avaient commencé leurs achats. A vrai dire elles ne connaissaient pas grand monde mis à part les Dark et encore elles n'avaient pas encore rencontré Féli. Les jumelles avaient donc acheté un paquet de feuilles avec des portées vierges. Pour Ruine et Peine elles avaient hésité longtemps avant d'opter pour un bracelet ayant pour contour les touches d'un piano (pour Ruine) et une casquette avec des notes de musique dessus (pour Peine) . Pour tous les autres pensionnaires elles avaient fait des paquets cadeaux avec une poche de bonbons en forme de pères Noël ou de messages comme « Merry Christmas ».

Après la préparation des cadeaux, Mel et Lam s'habillèrent. Elles choisirent de se vêtir exactement de la même façon. Vestes à fourrure et pantalons moulants noirs. Les elfes avaient choisi cette tenue pour ne pas qu'elles soient trop embêtantes pour patiner.

Elles prirent leurs patins et se dirigèrent vers le lac. Certaines personne étaient déjà arrivées. Mel et Lam allèrent déposer leurs cadeaux au pied de l'immense
sapin. Lam vit les oreilles pointues de sa sœur remuer légèrement. Ce mouvement voulait dire que Mel était heureuse. L'elfe à la chevelure blonde s'approcha un peu plus de l'arbre de noël et ce qu'elle sentit la transporta également de bonheur. L'odeur du sapin lui rappelait la forêt à côté de laquelle elle vivait, les noëls
enchantés qu'elle avait fêtés auprès de ses parents et de ses sœurs. Quand elles étaient triplées et non jumelles comme aujourd'hui. Comme si elle suivait les pensées de sa sœur, Mel se rembrunit et dit d'un ton sombre:

- Viens on va patiner.

Elles enfilèrent leurs patins et firent quelques tours du lac. On aurait dit que les elfes ne touchaient pas la glace. Elles filaient sur la surface brillante telles des flèches. Leurs cheveux virevoltaient dans le vent. Comme par magie la mauvaise humeur de Mel avait disparu et l'elfe riait de bon cœur. Elle avait l'impression que sa soeur et elle étaient seules sur le lac.

[corrigé by Morcrake et Emiko (excuse mais il restait des trucs énormes ><' T'avais pas du corriger la fin non ? )]

Invité

Morcrake, recevant la lettre, voulu faire un effort et s'habilla de blanc et sans capuche, mais il était hors de question de mettre le bonnet. Il sortit les gants en cuir noir. Insilria préféra s'habiller chaudement quand même, elle mit des vêtement chaud crée à l'artisanal exprès pour sa taille. Il prit ses patins et partit. Les cadeaux ? Ils ne connaissaient personnes et personne ne le connaissaient.... Il arriva au lac et se prépara à une entrée inattendu. Il se plaça là où une différence de niveau été le plus haut. Il se mit en ange, sortit ses ailes blanches et sauta. Malheureusement pour lui, un vent inattendu souffla si fort qui rata son atterrissage.....

Cela faisait presque un mois que Féli évitait tout le monde. On pouvait la voir uniquement au cours d’arts et d’autre bien plus rare, elle ne loupait pas non plus les répètes du groupe. Le reste du temps il était impossible de la trouvé, même la nuit elle ne venait plus dans sa chambre. C’est donc au répète que son frère lui avait après la date et la fête.

Après longue réflexion elle c’était décidé à y allé. Elle avait donc une fois de plus fuit en Enfer pour chercher des idées de cadeaux pour les personnes qui lui était cher. Pour son frère jumeau elle trouva un pendentif en argent représentant une guitare. C’était simple mais elle savait que sa lui plairait. Pour les petits, elle avait trouvé des Bombes Artifice qui serviraient surement pour un de leurs nombreux tours. Dans la même boutique que pour Chris, Féli avait trouvé des boucles cranes. Elle en prit deux paires, une blanche et une noire, elle dépareillât les boucles pour un meilleur style. Elle répartie les deux nouvelles paires dans deux boite pour Lilianne et Rikù. Après une plus longue recherche elle trouva une broche en forme de fleur pour Rina. En passant par hasard devant une boutique de manga elle avait pensé à Sôma et n’avait put s’empêché de rentré à l’intérieur pour ressortir avec un paquet contenant un manga du nom de « BECK ». Elle avait trouvé tout ça en une après midi.

Féli était déçue, elle avait cherché un cadeau spécial pour Emiko, mais ne trouvait absolument rien de suffisamment bien pour elle… En plus en ce moment la démone ne se sentait pas bien, elle perdait confiance en elle se qui ne l’aidait pas à trouvé se qu’elle voulait. Quand Féli joué pendant les répètes ces doigt tremblait sur les cordes et elle faisait beaucoup d’erreurs, elle fuyait l’aide des autres membres du groupe. Tout ça et se qui c’était passé avec Emiko, la faisait compétemment déprimer. Depuis se fameux jour avec l’ange, elle n’arrivait plus à redevenir elle-même.

Le jour de la fête étant arrivé il ne lui restait que peut de temps pour trouver l’idée pour Emiko, elle tenait à lui offrir quelque chose. Une chose qui lui permettrait de lui montré que malgré qu’elle ne la voyait plus ces sentiments pour elle n’avait pas changé. Féli passa dans la mâtiné au petit village prés de l’école cherchant toujours son cadeau. A de nombreuse reprise elle se cacha évitant des élèves de l’école. Mais la encore rien ne correspondait à se qu’elle cherchait.

Décourager et déprimé, Féli retourna dans la pièce secrète des ruine qu’elle avait aménagé et où elle vivait depuis sa disparition. Elle se jetât sur le matelas qui lui servait de lit et commença à pleuré. Les larmes coulèrent pendant un quart d’heure quand elle attrapa une feuille. Elle pleurait toujours. Elle attrapa un stylo à l’encre rouge sang et se mit à écrire. Tout les sentiments qui la troublé se transmirent sur la feuille. Les mots racontait tout se qui la hantait. Elle y décrivit son amour pour Emiko, le mal qu’elle ressentait dans son cœur. Elle parla de son éloignement de ces problèmes pour jouer correctement. Fur et à mesure qu’elle écrivait des larmes tombait sur la feuille. Quand enfin elle s’arrêta de pleuré, elle relut se qu’elle avait écrit. C’était une magnifique chanson qui racontait tout se qu’elle ressentait depuis se fameux jour. Etrangement après avoir écrit tout ça elle se sentait mieux. Elle se sentait libéré d’un poids. Féli se leva et pris précieusement cette feuille humide de ces larmes et la glissa dans une enveloppe et écrivit dessue « Pour Emiko ». Ce n’était pas un cadeau qui lui avait conté cher, mais elle sentait qu’elle devait lui offrir cette chanson.

Elle rassembla ces cadeau et parti rejoindre sa chambre qu’elle n’avait pas vue depuis longtemps. Elle vérifia que Rina et Emiko était absente et entra à l’intérieur. La démone commença à démonté son armoire à la recherche d’une tenue pour la soirée. Le choix était difficile ou trop nombreux. Elle opta pour une mini jupe noire, un haut simple et une veste de cuire. Elle n’avait finalement rien pris de voyant ne cherchant pas pour la première fois de sa vie à se faire remarqué dans la fête.

L’heure étant arrivé elle referma la chambre et pris ces cadeaux partant pour la fête. Sur place elle posa ces paquets au pied du sapin. Elle regarda l’enveloppe dédié à Emiko pendant plusieurs longues minutes et fini par rejoindre la piste. Au bort de la glace derrière les barrières elle s’assied au pied d’une pierre. Féli se contenta de regardé les autres patinés se n’était pas une activité qui lui plaisait. Elle remarqua sur la glace son petit frère et sa petite sœur discutant avec Lilianne et Rikù. Elle aperçu également Léha qui ne semblait pas craindre le froid. Elle passa ces bras au tour de ces genoux et plongea sa tête dedans. Ces jambes était entièrement exposé au froid mais elle n’y prêtait pas attention.

Chris espérait que son idée allait marcher. A la dernière répète il avait parlé à Féli de la fête de Noël. Il espérait pour la retrouver là bas. Depuis qu’elle se cachait, il s’inquiétait pour elle. Bien sur il était tout à fait capable de la retrouver, mais il ne le faisait pas car il savait qu’elle ne voulait pas l’être. Il avait dut s’expliquer avec le groupe pour qu’il la laisse tranquille et ne la questionne pas inutilement.

Ce soir il avait l’intention de trouver une solution pour qu’elle redevienne se qu’elle était. Il était justement en pleine discution avec Dickens à une table d’un stand de boisson. L’un comme l’autre n’avait pas vraiment d’idée, Dickens lui conseillait de laisser faire les choses et de ne surtout rien brusquer. Continuant à boire leurs boissons chaudes ils regardaient la piste de patinage.

Lili s’amusait comme une folle sur la glace. Elle patinait sans patin, mais se déplaisait avec vitesse et élégance se servant de ses petites ailes pour prendre de la vitesse ou faire des figures pendant des sauts. Nocta avait préféré s’asseoir sur la table et regarder le maître sagement.

Plus tôt, Chris avait cherché un cadeau pour sa sœur, il espérait ainsi la faire revenir. Sa présence lui manquait. Le démon avait perdu son calme et son sourire depuis que Féli avait décidé de se cacher ne partageant pas pour la première fois ses douleurs avec lui. Et pour ça il était reparti illégalement en Enfer. Il y avait cherché une démone très particulière. Une véritable artiste dans son domaine. Cette femme était inconnu du grand publique, c'est ce qui rendait ses créations si unique. C’était la fabricante de Destiny sa guitare si extraordinaire au son Unique. Il lui avait commandé une seconde guitare qui cette fois serait pour sa sœur. Mais cette femme ne se faisait pas payer en argent, il dut faire pour plusieurs chose qu’il ne vaux mieux pas décrire. Il était de toute façon prés à tout pour Féli. Après toutes ces épreuves il avait ramené une guitare extraordinaire qui avait nommé « Nuit ».

Quand il fut arrivé à la fête, il avait déposé sous le sapin l’instrument ainsi que ses autres cadeaux. Pour Ruine et Peine, il avait trouvé des appareilles photos aux fonctions très particulière. Pour Dickens il lui avait trouvé une variété rare de cigarette. Pour Emiko il avait trouvé des graine d’une fleur des Enfers, il lui précisa sur l’une lettre les conditions pour la faire poussé. (C’était une grande fleure noire avec un pétale sur deux qui était blanc. Pour les jumelles du groupe il trouva un ensemble de bijoux gothique. Il avait tout pris n’arrivant à pas à faire un choix. Et enfin pour son collègue de chambre un coussin tout simplement.

Avec tout ça il était totalement épuisé et se moment de pose avec son ami lui faisait du bien.

[Corrigé by Morcrake]

Dans la chambre Darts vérifiait que ses cadeaux n'avaient pas bougé de place se rappelant ce qui c'était passé l'année précédente. Tout était là, le CD pour Chris c'était un groupe que lui adorait et qu'il voulait faire découvrir à son ami. Le Groupe étant Evanescence. Pour Emiko il lui avait trouvé un livre sur son monde, il savait qu'elle était curieuse de savoir comment était le monde d'où il venait. Pour Dagus il avait aussi trouvé un livre sachant qu'il aimait ça. Une histoire fantastique qu'il lui avait été conseillé, la trilogie des Empereur Mage. Puis le dernier une sacoche pour Dixi.

Tout étant à sa place il attrapa le tout et le posât sur son lit. Il prit un blouson de cuir qu'il garda ouvert par-dessus sa chemise également ouverte sur son torse nu. Il n'était vraiment pas frileux et ne fermait jamais ce qui pouvait rester ouvert, à l'expression de sa braguette ça va de soit...Après une mise au point avec son mog sur le fait qu'il ne devait surtout rien volé ce soir, il partit paquet à la main pour rejoindre le lac enneigé et gelé. Les cadeaux déposés, il se mit à marcher sans but particulier. Il espérait trouver une connaissance avec qui passé le début de la fête et si possible Emiko.

[Corrigé by Morcrake]

Emiko avait reçu l'invitation la veille de l'évènement. Elle avait déjà prévu une tenue se doutant bien que quelque chose serait organisé comme à chaque grande date du calendrier. Le grand jour était maintenant venu et l'heure approchait à grands pas. Elle vérifia sa tenue, passa une dernière fois sa main dans les cheveux puis paquets en main, elle sortit prête à affronter le froid. Il avait beaucoup neigé ces derniers temps et le paysage avait complètement changé. Tout était recouvert d'une pellicule blanche et même les chemins fréquentés paraissant praticables de loin étaient complètement givrés, rendant périlleux toute tentative pour rester droit et digne. Avec un sourire et de grandes précautions, l'ange avança sur le chemin en direction du lac.
Elle portait une robe bleue nuit jusqu'au dessus des genoux et des collants noirs assez épais pour ne pas avoir trop froid. Son grand manteau descendait jusqu'au bas de sa robe. Elle avait également mis des gants et avait mis des caches oreilles assortis à sa robe. Alors que le vent soufflait, la jeune fille releva son col, rentra la tête dans les épaule et continua son chemin. Elle devait arriver avant les autres comme Sôma le lui avait demandé. Il voulait qu'elle l'aide à préparer le concours de sculpture de glace. Elle avait bien sûr accepté avec plaisir, contente de pouvoir se rendre utile et de se changer les idées.
C'est l'esprit complètement ailleurs pourtant qu'elle arriva au pied du sapin. Elle y déposa ses cadeaux sans vraiment y penser puis se dirigea vers le bord du lac en attendant Sôma. Il n'était pas encore là. Les yeux fixés sur l'eau glacée et toute brillante, elle laissa ses pensées vagabonder. Un mois, cela faisait un mois qu'elle l'avait plus vraiment parlé à Féli. Celle-ci l'évitait sans cesse et d'après ce qu'elle avait pu comprendre, elle n'évitait pas qu'elle. Elle ne dormait plus dans leur chambre, séchait la plupart des cours. L'ange avait de la peine pour elle et un grand vide occupait son cœur. La démone avait été son amie et sa confidente et elle ne supportait pas ce trou qu'elle laissait dans son existence. Plusieurs fois elle avait essayé de lui parler mais celle-ci lui avait toujours fait comprendre d'un geste ou d'un regard que ce n'était pas le moment. Emiko s'était souvent réfugiée dans l'aile abandonnée du lycée, le carnet que Féli lui avait offert à la main et s'était défoulée en chantant. Mais cela ne comblait pas le vide laissé par son amie.
Une larme coula sur sa joue..

- Féli, où es-tu à présent ?

C'est dans cet état d'esprit, les mains dans les poches et le nez gelé que le professeur d'art la surprit quelques minutes plus tard. Elle ne le remarqua que quand il lui adressa la parole.

Sôma était fatigué. Tellement fatigué que des cernes commençaient à apparaître autours de ses yeux rouge sang. Depuis son arrivée à Orkna, il n’avait pas dormi une heure entière. Pourtant, cela faisait pas loin de deux mois qu’il était arrivé en ce lieu dont il ne sait toujours pas pourquoi on l’a appelé. Il aurait déjà du dormir mais non. Bien que Sôma n’aie pas besoin de beaucoup dormir à cause de ses "particularités" physiques, il devait quand même dormir au moins une vingtaine d’heure dans le mois pour tenir le choc. Seulement, bien trop de monde en Orkna l’avait vu au moins une fois sous sa forme que beaucoup de monde devrait ignorer l’existence. Et c’était cela qui l’empêchait de dormir. Avant qu’il ne rentre au lycée, il n’était pas rare que certaines personnes commande sa mort tellement il dégoûtait le monde, les démons y comprit.

Sauf qu’il n’avait pas passé la journée à se reposer et loin de la. Il se devait de préparer le concours des arts des neiges, qu’il avait lui-même organisé pour pouvoir essayer de réunir les élèves, dans cet endroit magnifique qu’était le lac du dragon bleu. Il partit aussi acheter ou troquer quelques bien pour les élèves qu’il appréciait plus ou moins, de façon plus ou moins honnête pour certain. Pour Emiko, il avait acheté une dizaine d’ensemble de vêtements à tendance gothique, pour Leha deux statue de dragons avec une toile qu’il avait lui-même fait la représentant avec son familier dans une position héroïque, pour Féli un ampli noir et rouge avec la structure dessinée de telle façon que l’on aurait dit des plumes, des poster un peu spéciaux ainsi que des roses noires, des bijoux divers pour les deux démonesse que Sôma avait remarqué qu’elle l’appréciait et un Cd contenant quelques chanson pour le reste du groupe. Il déposa ses cadeaux avant tout le monde car il ne voulait pas que l’on voit qu’il avait fait d’énormes paquets.

Quand il les eut tout déposé (il du faire plusieurs voyages), il commença à préparer le stand ainsi que la réserve pour les art des neiges. Il en profita aussi pour se changer sur place. Il garda tous ses accessoires, mais troqua son tee-shirt rock noir pour le remplacer par un autre où l’on pouvait voir dessiné en argenté deux filles s’embrasser et ouvert en haut, puis il ajouta une chemise ouverte noire aussi avec des motifs de roses dessus mais à peine visible. Il finit par s’attacher les cheveux en queue de cheval avec quelques mèches qui tombaient devant son visage, ouvra son tee-shirt jusqu’au thorax. Tout le look faisait de lui à la fois beaucoup plus adulte, mais aussi raffiné quand on connaissait qui il était a l’origine.

Il sortit une fois rhabillé et remarqua Emiko. Celle-ci regardait le lac sans bouger, de la même façon que quelqu’un de perdu dans ses propres pensées. Pendant qu’il la rejoignait pour lui parler de ce qu’ils allaient faire ensemble pour préparer le concourt, il entendit de sa bouche « Féli » d’une voix un peu triste. Il s’arrêta net quand son ouïe d’elfe entendit ce simple nom, suivit d’une question, presque de façon imperceptible. Il s’approcha doucement de l’ange pour ne pas la surprendre. Cependant celle-ci semblait bien trop dans ses pensées pour le remarquer. Il posa une de ses mains sur l’épaule de son assistante, et l’appela avec une voix calme :

- Emiko…

Elle se retourna et Sôma n’eut aucun mal à remarquer qu’elle avait pleuré. Il ferma les yeux, et pris un air un peu chagriné. Il cherchait en lui une manière de la réconforter, bien qu’il bien s’agissait d’un domaine où il avait une expérience quasi-inexistante. Il tenta de la réconforter par des mots :

- Emiko. Je ne sais pas quelle relation tu as avec Féli, mais en ce moment elle semble beaucoup te manquer. Il se trouve qu’elle perd ses moyens en ce moment. Je n’en connais pas la raison et je n’ai pas à la connaître. Cependant, si ce que je pense est juste, il vaudrait mieux la laisser mettre les choses à plat de son coté avant d’attendre le bon moment pour lu parler.

Quand il arrêta de parler, Sôma espéra qu’Emiko se sentirai un peu mieux. Il s’y était pris de façon maladroite et peu-être un peu déplacée, mais on pouvait voir qu’il faisait son de mieux pour la réconforter. Il sortit d’une des poches arrière de son pantalon une lettre qu’il avait écrite pour Féli avec une écriture différente de son écriture habituelle. Il finit par commenter :

- Tu n’auras qu’à lui transmettre ça. Je comptais lui donner en plus de ses cadeaux anonymement, mais tu semble plus attachée que moi à elle. Bien plus que je n’ai attaché d’importance à qui que ce soit dans ma sombre vie. Tu peux en faire ce que tu veux. Soit lui donner en faisant en sorte que cela vienne de toi, soit la garder anonyme pour qu’elle remarque qu’il y a au moins une personne qui voudrait qu’elle aille mieux

Il lâchât sa main de son épaule et se mit à la regarder intensément. Son regard était comme perçant l’Âme d’Emiko. Il pouvait bien voir qu’elle tenait beaucoup à elle, bien plus que lui ne pourrais être apprécié. Il finit par essayer de sourire, mais en vain. Emiko dut se contenter d’une expression neutre comme celle qu’il eut en regardant la lune le soir de son premier cours. Il reprit vite son air habituel voyant pertinemment qu’il ne savait pas sourire. Il reprit la parole une dernière fois :

- Étant donné que tu es affaiblit par tes sentiments pour le moment, je vais m’occuper moi-même de préparer le concours. Tu n’as qu’a aller t’amuser pendant ce temps. Je ne supporterais pas que quelqu’un comme toi soit triste d’une manière ou d’une autre.

Puis il lui tourna le dos et partit en direction de son stand. Se demandant si elle allait le suivre ou pas…

Les jumelles enchaînaient les figures les unes après les autres, avec toute la grâce de leurs corps souple et svelte. Les figures les plus simples sont souvent les plus jolie, et cela se vérifiait sans problème avec ses deux la. Elle vagabondait sur la patinoire du lac de part en part en profitant de leur union par les menottes. Pendant tout ce temps, Ruine et Peine arrivèrent vers elle, leurs demandant d’une voix simultanée si elle était prête à s’amuser. Les métalleuse se mirent à rire, puis à leur répondre sur un ton moqueur :

- Parce que vous croyait qu’on allait vous attendre hein ? Nous ça fait un petit moment qu’on est la !

- Et oui. Désolé mais on vous a devancé les jeunes. Sinon c’est quand vous voulez ! *sourire*

Puis elle s’embrassèrent une nouvelle fois. Rikù commençait cependant à se poser des questions. Elle se demandait si les deux zigoto en face d’elles n’avaient pas inversé les rôles… Cet impression bizarre devenait de plus en plus une certitude au fur et à mesure que le temps passait. Après quelques minutes, les deux jumelles remarquèrent que Dickens arrivait avec tous les paquets qu’elle avait eut la flemme d’emmener jusqu’ici.

Elles avaient prévu de gâter beaucoup de monde. Pour commencer, tout plein de CD de musique à tout le groupe. Pour les cadeaux individuels, un étui à guitare pour Chris, des vêtement pour Féli (choisi par Lilianne donc bonjour le résultat), pour les deux zigoto tout plein de bijoux assortit ensemble et pour Dickens des livres sur la musique. Rikù en avait aussi profité pour offrir au prof d’art une chemise gothique avec un crâne dessiné à l’arrière. Leur cadeaux ne leur avait pas coûté cher, car elles connaissait du monde qui pouvait leurs faire un prix.

Le Dickens leurs fit un signe de la main, puis repartit sans doute pour aller chercher les sien pour les déposer. Puis les familiers arrivèrent enfin, fatiguées d’avoir aider le démon :

- Dites donc z’auriez pu les porter vous même vos cadeaux ! On s’est crevé pour vous aider quand même ! Pas vrai Lahia ?

Sauf que celle-ci ne répondit pas. Rikéru avait parlé avec son ton insolent habituel, ce qui énerva un peu Rikù qui en profita pour l’attraper d’une seule main pour l’étouffer. Après que la chauve-souris c’était excusé, le patin reprit de plus belle. Toutes la troupe des doublés partit dans un délire tout en patinant.

Les jumeaux accompagnèrent le rire des jumelles avec le leur et accéléra la cadence. Ruine s’amusé de voir son frère en fille surtout qu’il joué super bien son rôle. Peine imité à la perfection sa voie c’était incroyable. Elle se concentra pour en faire autant. Peine s’approcha d’elle et lui dit :

-Regarde qui est là bas.

Elle suivit son regard pour apercevoir les jumelles elfes, Mel et Lam. Tout de suite ils partirent les rejoindre. Arrivé à leur niveau avec difficulté car elles allaient plutôt vite, ils se mirent à leur tourné autour. D’une même voie ils saluèrent les deux jolies elfes.

-Salut, ça faisait un moment.

Ruine se faisant passé pour son frère, fit une courbette et passant par derrière et se plaça entre les deux. Elle les prit toute les deux par les mains et se mit à patiné débutant une sorte de dance en jonglant avec les deux les faisant passé de gauche à droite avec facilité et espéré les amusé. Peine lui se tourna vers un mec qu’il ne connaissait pas et s’amusa à le dragué. En s’approchant de lui il reconnut Morcrake son voisin de chambre. Il se rappela se que Ruine lui avait raconté quand elle était rentré dans sa chambre.

-Alors tu à abandonné tes livre ? Tu sais que tu es mignon sur des patins ?

Continuant à joué le rôle de sa sœur à la perfection il l’attrapa par la main et le fit tourné sur lui-même en rigolant d’un rire très féminin.

-Montre moi se que tu sait faire.

Les jumelles prenaient beaucoup de plaisir à patiner. Le vent dans les cheveux, le froid qui te pique le nez et toutes autres sensations similaires à celles-ci faisaient frisonner les elfes de bonheur. Elles avaient l'impression d'être libres, d'être libérées de toutes chaînes. Tout en tournant sur la glace, Lam avait remarqué que d'autres personne étaient arrivées sur l'eau solide. Mel, de son côté, regardait plutôt sur le côté de la piste. Elle sourit quand Chris arriva mais son attention fut détournée quand arriva une jeune fille gothique que l'elfe avait déjà vu en EPS. Elle avait l'air triste alors que Noël était là. Cela était impensable pour Mel et elle se promit d'aller lui parler avant la fin de la soirée.

Les jeunes jumeaux de la famille Dark arrivèrent près des jumelles. Ils firent de larges cercles autour des filles des bois. Lorsque les démons les saluèrent, elles sourirent. Elles leur rendit leur salut. Ruine s'éloigna et Peine prit les mains de nos elfes. Les oreilles de Lam rougirent et frémirent de plaisir. Il entreprit de les faire tourner tout en patinant. Les jumelles passaient d'une main à l'autre. Elles riaient de bonheur, tout était parfait.

Quand cette "danse" s'arrêta Lam dit :
-Dit Peine, je peux te parler ?
Elle commença à se diriger vers le bord de la piste mais voyant que sa sœur allait les suivre elle ajouta : "en privé."
Mel se contenta de reculer et, profitant que Peine soit de dos, de faire un clin d'œil à sa sœur. La jeune fille rejoint l'autre côté de la patinoire,délaça ses patins et remit ses chaussures. Elle se dirigea vers la jeune fille qu'elle avait remarqué en début de soirée. N'ayant pas l'audace de sa sœur pour aborder les gens elle se contenta de signaler sa présence pour voir si la jeune gothique allait relever la tête

Invité

Morcrake se releva et constata qu'une personne l'avait vu tombé, le courant été bizarrement passable, et Insilria sentit un petit soupçon de relation...

Morcrake : Hum ? Oh oui bien sur.

Il se vit s’entraîner à une danse de patins à glace. Il ne s'y sentit pas à l'aise mais essaya de faire des trucs afin d'évité la honte. Ses enchaînements n'étaient pas vraiment super mais au moins ce n'était pas ridicule...

Insilria : j'ai comme une mauvaise impression...

Elle regarda les yeux de la demoiselle, comme si elle voulait regardé en elle. La seule chose qu'elle put tiré fut qu'elle cacha quelque chose, mais quoi ?

Dag roupillais bien au chaud dans sont lit, sur lui dormais deux autre fainéante qui étaient collé l’une a l’autre. Je veux bien sur parler de la chienne et de l’hermine. Un réveille devait sonner pour les réveiller tout les trois mais celui-ci c’est bloqué sur 16h59 alors qu’il devait sonner a 17h pour lui laisser le temps de se préparer. Il voulait se faire beau pour que la soirée soit inoubliable, En plus il voulait arriver avant l’ouverture pour avoir l’occasion de patiner un peut sur le lac. C’est vers 19h30 que Jin se réveilla de manière discrète comme a sont habitude. Mais si elle c’est réveillé se n’était pas pour la soirée mais pour grignoter. Sont petit ventre gargouillé alors elle se glissa dans la poche droite de la veste a Dag pour lui piquer une barre de chocolat. Une foi sont ventre bien remplie celle-ci regarda la pendule puis le lit d’à coté. Il y avait quelque chose qui cloché. Lorsqu’elle vit que Morcrake n’était plus la et que l’horloge était coincé a la même position, elle se précipita pour réveiller dag au plus vite:

-EH dag réveille toi tes a la bourre pour la soirée !!!

-Jin ce n’est pas le moment t’aura à manger quand se sera l’heur.

- J’n’ai pas faim Abruti et puis je suis capable de me servir moi-même, aller réveille toi !!!

-Humm, culotte…

Seul Nebel se réveilla. Après cette tentative pour le réveiller et surtout après les derniers propos Jin décida une bonne foi pour tout d’utiliser la manière forte pour le réveiller, elle lui mordit le bras se qui lui fit faire un bon du lit qu’il en tomba. Après quelque minute il se soigna puis se fit beau pour la soirée. Avant de partir il mit sa veste bien chaude, il prit un sac avec les cadeaux et mis sa main dans sa poche droite pour prendre une barre chocolaté mais elle n’y était pas alors il regarda dans l’autre poche, et il trouva plus que l’emballage. Il réfléchissait et il ne se rappelé plus l’avoir mangé. Il partie avec ses deux compagnons en courant vers le lac pour rater le moins de chose possible même s’il en avait déjà raté pas mal.

Arrivé sur place il y avait déjà pas mal de monde, il se dirigea vers le sapin, il y déposa des cadeaux, il y en avait un pour Rina, c’était un magnifique pendentif dorée qui représenté un ange. Il y en avait un autre pour Ruine, c’était un bracelet à pointe, il espère se faire pardonné la bêtise de l’autre fois. Dag déposé les autres cadeaux qu’il avait ramené pour les autres personnes qu’il lui compté beaucoup. Après avoir déposé ses cadeaux il partie enfiler ses patins puis il rejoint la glace pour patiner. Au début il fit des tours avec Jin sur son épaule. Nebel elle attendit sur le bord, elle préféra les regarder patiner tranquillement. Au début tout aller bien pour lui il patiné comme s’il avait fait sa toute sa vie. Jusqu’au moment où il percute une personne de la piste qui lui fit perdre son équilibre. Jin prise de panique s’enroula devant les yeux de Dag l’aveuglant complètement, quand celle-ci se décrocha en tombant sur la piste pour glisser jusqu’aux pattes de Nebel. Dag lui atterrie sur une demoiselle a qui elle avait déjà eu à faire pas le passé…

Emiko était complètement dans le vague. Ses yeux fixaient un point imaginaire immobile au milieu du lac tandis que son esprit voyageait à des lieux de là. Elle revoyait tous les moments qu'elle avait partagés avec Féli. Depuis le moment où elle l'avait vu chanter le soir d'Halloween jusqu'aux soirs où elles avaient discuté tard dans la nuit. Elle se souvenait avoir écouté sa voix, admiré son audace et sa beauté. Elle s'était confiée à la démone, elle était la première qui avait connu sa véritable histoire. C'était le jour où elle s'était entièrement dévoilée que tout avait changé..
Les larmes auraient pu couler longtemps sur le visage de la jeune fille si une voix n'avait pas interrompu le flot de ses émotions. Son prénom, prononcé si doucement qu'elle faillit ne pas le percevoir à travers le brouillard ennuageant son esprit. Mais une main sur son épaule acheva de la ramener à la réalité alors qu'elle se retournait, les yeux à présent secs face à son professeur d'art. Il l'avait vue pleurer, elle n'en avait aucun doute. Elle n'avait pas cherché à se cacher et elle aurait été dans l'incapacité totale de dire depuis combien de temps il été là.
En voyant son air, les yeux de Sôma changèrent. L'ange aurait été incapable de dire si cela était sincère ou non. En tout cas, il essaya tant bien que mal de la réconforter. C'était vraiment très maladroit de sa part mais l'attention toucha la jeune fille qui ne put retenir un sourire empli de tristesse.

- Combien de temps faut-il à quelqu'un pour mettre les choses à plat ? Un mois, un an, toute une vie ? Vous ne savez sans doute pas ces choses là. Cela dépend des gens n'est-ce pas ?

L'ange n'attendait pas vraiment de réponse à ses paroles. C'était plus une série de question rhétorique qu'autre chose.

- Je suis prête à l'attendre encore longtemps. Mais ne pourrait-elle pas seulement me laisser savoir quand j'aurais une chance..

Ces paroles étaient plus destinées à elle-même qu'à son interlocuteur qui d'ailleurs continuait sur sa lancée. Il sortit une lettre de sa poche arrière et la lui tendit. Elle était anonyme mais destinée à Féli. Pour qu'elle sache que l'on voulait qu'elle aille mieux. Le professeur proposa de la lui donner comme si c'était d'elle. Comment quelqu'un pouvait-il s'imaginer qu'elle s'approprierait quelque chose qui n'était pas d'elle. il n'était décidément pas dans sa nature de travailler sur le dos des autres et cela ne changerait pas. Elle se promis de la donner telle quel, gardant l'expéditeur secret puisque tel était son propre choix.
Après une dernière prise de parole dans laquelle l'elfe annonçait qu'elle était "délivrée de ses fonctions" comme on dit, il commença à s'éloigner. Bien entendu, le jeune fille n'avait aucune envie de rester seule en attendant l'arrivée des autres. Elle le suivit donc vers son stand. Arrivés là-bas, ils commencèrent les préparatifs en silence. Après un long moment, Emiko prit la parole :

- Cette lettre restera anonyme puisque tel est votre choix. J'ai déjà écrit quelque chose pour Féli de toute manière. Les élèves ne vont pas tarder à arriver à présent, quand compter vous commencer votre concours ? Et comment cela va fonctionner ? C'est par équipe ou non ? Et y aura-t-il un thème ?

Parler obliger la jeune fille à ne plus penser à quoi que ce soit d'autre que le sujet de conversation. Elle se rendait compte que ses mots ne sonnaient pas tout à fait justes mais peu lui importait. Elle se demandait surtout si Féli viendrait...

Invité

Désiré venait tout juste d'arriver dans sa chambre, et poser ses valises quand on vint toquer à la porte. Quand elle ouvrit, il n'y avait personne. Seulement un mot sur sa porte. C'était une invitation pour aller à une fête de Noël donner au lac. Alors que la jeune femme aux cheveux de feu refermait la porte, un bruit sourd se fit entendre. Paniquée, Désiré sorti un petit poignard d'un de ses longs gants et déboula dans la chambre à la vitesse de l'éclair. Prête à en découdre s'il le fallait. Mais au moment où elle allait attaquer, Fuerza lui transmit par la pensée avec une voix penaude:

" S'il te plaie Désie vient m'aider. J'ai un petit problème . . ."

Rassurée, la demoiselle rangea son arme et pénétra dans la pièce. Il y avait des vêtements à elle, PARTOUT. On aurait juré qu'il y avait eu un ouragan, un bombardement, ou même une guerre de garde robe. Cherchant son amie des yeux, Désiré parcouru la pièce une première fois sans la voir. Puis après qu'une pile de vêtements ce soit mise à trembler, la rouquine la localisa. Retira le sur-plus de robe et tee-shirt libérant Fuerza. Cette dernière bondit et se secoua pour se débarrasser ce qui la recouvrait encore. Désiré ne put retenir son rire quand elle vit son amie, loucher pour regarder la culotte qui s'agrippait à son museau. Reprenant son sérieux et un air faussement autoritaire, elle déclara:

- Ah bah bravo ! Tu t'es surpassée ! C'est la première fois que tu mets autant de pagaille en si peu de temps ! Allez aide-moi à ranger tout ça. Comme ça, on ira à une fête au lac. Sa seras l'occasion de faire connaissance !

Aussitôt Fuerza commença à pousser le maximum de vêtements dans le placard sous l’œil amusait de sa maitresse qui s'occupait d'en ramasser autant.
Quant tout fut en ordre, la demoiselle entreprit de se changer avec les vêtements qu'elle avait mis de côté. C'est-à-dire un gros pull en laine blanc, un jeans, des bottes blanches fourrées et une veste en cuir chauffante blanche avec de la fausse fourrure blanche autour des manches et du col. Fuerza, elle était une vraie chaudière à elle toute seule donc son pelage lui suffisait. Ainsi paré à affronter le froid les deux amies se rendirent à la fête.

Après un nombre incalculable de chute sur le verglas, elles arrivèrent au lac. C'était magnifique tout était décoré aux couleurs de Noël et de petits stands semblait avoir poussé partout tel des champignons. Il y avait même des gens qui patinaient sur le lac entièrement gelé. Pour Désiré s'était un spectacle nouveau, il faisait assez chaud dans le monde ou elle vivait avant. Et de l'eau solide s'était plutôt étrange. Fuerza, elle ne s'était pas posée autant de questions et foncé tout droit sur la glace, au grand désespoir de sa maitresse. Pour surveillé son amie, qui était autant une catastrophe qu'elle, Désiré finit par enfiler des patins qu'on pouvait louer dans un stand pas loin. C'est donc avec curiosité et précaution, qu'elle rejoignit la petite renarde sur la piste glacée.

Au début il ne se passa rien. Puis La rouquine aux longs cheveux entrepris d'avancer. Grave erreur. Alors qu'elle avait avancé la jambe, pour rejoindre Fuerza qui glissait joyeusement d'un côté à l'autre, son autre jambe se déroba sous elle. Résultat ? (Je suppose que vous avez tous vu, au moins une fois, Bambi. Bah c'est à peu prêt ce qu'il lui est arrivé). Alors qu'elle tentait d'esquisser un mouvement, elle se retrouva sur le ventre, le nez sur la glace. Ne perdant pas espoir, le jeune fille voulut se relevait. Ce qui se solda par un échec. Nouvelle tentative, nouvel échec. Gardant encore un peu de dignité, elle fit une nouvelle tentative qui se soldat elle aussi par un échec. Mais étant très combative Désiré continua sa manœuvre jusqu’à épuisement. La jeune femme aux long cheveux flamme voulant sauver se qui resté de son honneur, espérait que quelqu'un aurait pitié d'elle. Pendant se temps Fuerza ne cachait pas sa joie . . .

Sôma ne mit pas longtemps à arriver au stand malgré le fait qu’il s’attendait à ce qu’Emiko le rejoigne d’une minute à l’autre. Il n’eut cependant pas à attendre des lustres pour qu’elle se mette à le suivre vers les préparatifs. Une fois arrivés à leur destination, le travail commença de bon train. Il fallait commencer à déballer tout le petit matériel destiné à faire diverses choses avec de la glace ou de la neige. Il fallait d’abord prendre tout ça par deux pour chaque élève et le déposer dans la zone ou tout aller se dérouler, c’est à dire plus loin derrière le stand. Le reste du matériel n’était que des accessoires destinés à compléter d’éventuelles créations.

Pendant tout les aller-retours, Emiko parla de ce qu’elle allait faire de sa lettre, et enchaîna très vite avec plusieurs questions concernant le concours. Entre deux voyages, il pris la peine de se frotter les mains et de craquer ses doigts affaiblit par le travail manuel qu’il n’avait pas fait si longtemps. Il portait les choses les plus lourdes et encombrante tandis qu’Emiko ne faisait que le minimum. Il demanda à Emiko d’arrêter sa lancée pour qu’elle puise prendre la peine de l ‘écouter :

- Je vais t’expliquer en détail tout ce qui concerne le concours. Tout d’abord, tout le monde à le droit de participer quand il veut. Pour la suite la création est libre, tant que c’est avec de la glace ou de la neige. Le patin est autorisé tant que ça reste de la création. Après pour le début il y aura quelque temps d’attentes. Quand ce sera le début, tout le monde aura tout son temps jusqu'à l’ouverture des cadeaux…

Et il continua à parler. Entre temps, il avait déballé les derniers outils nécessaires et il ne restait plus rien à faire à part attendre l’heure. Le temps avait pas mal passé et bien des élèves était déjà là à faire différente activité. Après s’être lentement étiré discrètement tout en remettant ses vêtements en place. Il finit par boire une petite gorgée de l’une de ses fioles et la rangea doucement. Ils avaient fini de faire ce qu’il avait à faire donc il la libéra de ses obligations, en lui précisant qu’il avait à faire de son coté et il s’en alla seul.

Il finit par rejoindre un homme à l’allure banale, loin de tout le monde. Cet homme était une connaissance qui était à Orkna pour un moment, cherchant du travail. Il venait de rendre des comptes sur un ennemi de l’elfe qu’il était parti chercher mais qu’il n’avait trouvé. Il prit les notes, les lisant de fond en comble, puis il les brûla pour ne laisser aucune trace. Il donna un peu de monnaie à l’homme puis il s’en alla ailleurs, loin de la fête. Sôma décida de revenir là où il y avait foule.

Revenu près de la patinoire, il regardait les différentes personnes qui se faisait plaisir sur la piste. Il s’approcha du bord mais recula net quand il vit son reflet sur la piste de glace. Il cherchait un endroit où se poser pour regarder le spectacle sans être dérangé. Il se posa donc dans un des deux endroits près de la patinoire les plus isolé et sortit un manga et ses écouteurs. Il mit un peu de rock doux dans les oreilles et commença à lire, attendant l’heure du concours

Chris était en pleine discussion avec Dickens. Les sujets dérivais entre les affaires du groupe et la situation de Féli. Le démon jetait régulièrement des coups d’œil à la patinoire. Il ne pouvait pas s’empêcher de penser que les deux petits avait préparé un de leurs fameux coups. Cette fois se fut une jolie fille qui attira son regard. Il se mit à sourire et se leva, n’écoutant plus se que disait Dickens. Son ami se mit à sourire regardant Chris s’emparer de patin pour rejoindre les eaux gelée du lac. Très vite Nocta décolla de la table suivant le maitre en volant au dessus de lui.

Il commença à glisser sur la glace et se mit rapidement à rejoindre la jeune fille à la chevelure rousse. Avec un sourire charmeur, il l’aida à se relever.

-C’est toujours difficile la première fois. Laisse-moi-t’aider.

Lui prenant les bras, il l’aida à prendre son équilibre. Il se colla derrière elle.

-Laisse toi guider. Tu va voir ça va aller tout seul.

Il lui fit un sourire, et commença a la poussé. Chris se mit à patiner tout la tenant pour qu’elle apprenne les mouvements et les bon points d’équilibre. Il lui fit faire un petit tour de piste avant de reprendre la parole.

-Je m’appelle Chris et toi ?

Il écouta sa réponse et reprit.

-Attention je vais te lâcher, voyons si tu tien un peut mieux.

Tout comme il l’avait averti, Chris lâchât doucement la jeune fille de façon qu’elle ne perde pas l’équilibre si son élan. Il se mit à la suivre pour pouvoir la rattrapé au cas où.

Assise sur l’herbe gelée, appuyer contre son rocher, Féli avait la tête entre ces genoux. En la regardant on aurait pu se dire qu’elle réfléchissait, mais c’était totalement l’inverse. Féli voulait surtout penser à rien. Elle laissait les rires des autre qui s’amusait, elle reconnut même celui des jumeaux. Elle aurait aimé s’amuser autant qu’eux. Mais sa tête n’arrêtait pas de l’envahir de pensé d’Emiko. Elle n’arrivait pas à se comporté avec elle, elle faisait avec ces autre amis. La démone n’osait pas se comportait comme à son habitude en présence de l’ange. Les choses c’était empiré le jour où elle c’était dévoilé à elle. Depuis se jour Féli lui avait promit de restait son amie, mais elle en était incapable. Son amour était trop grand, pour se comporté en amie avec elle.

Et voila, encore ses pensée qui reprenait le dessus. Voila se qui la torturait depuis plus d’un mois. Pour chasser ses pensées, elle se concentra sur les bruits qui l’entouraient. Féli remarqua alors que des pas venant dans sa direction. Elle décolla sa tête de ces genoux pour voir une jeune fille lui faire signe. Féli ne connaissait pas cette elfe, mais elle allait lui permettre de se changer les idées. Elle se leva et la laissa s’approché. Il était évidant qu’elle venait pour elle.

-Je peux faire quelque chose pour toi ?

La démone détailla la nouvelle venue. C’était une elfe plutôt jolie, enfin toutes les elfes étaient jolies en général. Elle semblait plutôt gentille et guider par de bonne intention.

Emiko avait écouté les explications de Sôma en silence. Le concours ne commencerait pas tout de suite et elle en savait même pas si elle y participerait. Elle avait la tête ailleurs depuis le début de la soirée et ça n'allait pas vraiment en s'améliorant. En silence, elle se dirigea vers le lac, complètement glacé à cette époque là de l'année. Il y avait déjà de nombreuses personnes en train de patiner plus ou moins habilement. Au loin, elle remarqua Chris en train d'aider une jeune fille rousse apparemment débutante dans cette pratique sportive. Un des jeunes jumeaux Darck, elle ne pouvait dire lequel à cette distance-là, s'amusait avec Rina tandis que l'autre se trouvait en compagnie de quelqu'un qu'elle ne connaissait pas. Des jeunes filles patinaient légèrement aussi, attachée ensemble par une chaîne. Qui étaient-elles ? Emiko ne les avait encore jamais vues.
Mais la personne que recherchait l'ange n'était pas là. Attristée de na pas voir Féli, la jeune fille hésita à rentrer. Elle se dirigeait vers la grand sapin principal quand elle la vit, en compagnie de quelqu'un d'autre. Ne voulant pas se faire remarquer, l'adolescente recula doucement et alla s'assoir un peu plus loin, regrettant presque la compagnie de Sôma. S'en vraiment s'en rendre compte, elle commença à tracer des formes sur la neige avec le doigt. Quand elle eut rempli tout l'espace libre à portée de bras, elle se leva, décidée à aller parler à Chris quand il serait libre. Sa situation avec Féli ne pourrait pas durer éternellement.. Postée au bord de l'eau gelé, les pieds sur la glace, la jeune fille observait maintenant les patineurs, tous riant aux éclats.

Les jumelles patinaient plutôt bien et cela se remarquait même de loin. Cependant après quelques minutes à bouger sans rien faire de particulier, elles décidèrent d’arrêter et sortir de la piste. Après avoir remit les patins à celui qui s’en occupait, les deux métalleuse décidèrent de faire une pause. Elles allèrent vers un stand qui s’occupait de faire de magnifiques crêpes au sirop. Lilianne ne put s’empêcher de convaincre sa sœur à s’y rendre, histoire de se remplir l’estomac car il était presque l’heure du dîner normalement. Devant le stand, Lilianne paya pour tout les monde quelques crêpes avant d’aller s’asseoir sur les bancs d’en face. Rikù était gelé jusqu’aux os depuis l’arrêt total du patin et s’empressa de manger sa première crêpe. Les familiers ne purent être oubliés car il y avait une crêpe pour elle aussi. Quand les jumelles eurent finit chacune leur premier mets de sirop, Lilianne eût une idée un peu tordue :

- Tient ma sœur. On va manger toutes les deux la même chacune de notre coté *sourire*

- Pourquoi pas ! J’aime bien ton idée ! *rire*

Chacune avec une de leurs mains, elles prirent une crêpe et commencèrent à la dévorer lentement. A coté, Rikéru avait deviné le plan de Lilianne qui consistait simplement à ce que les lèvres de deux jumelles se touchent. Bien sûr elle voyait gros comme une maison un fougueux baiser à la suite de ce petit jeu qu’elle trouvait ridicule. Elle n’eut même pas le temps de dire quoi que ce soit à Lahia que sa maîtresse faisait un roulage de pelle détonnant à sa sœur, couchée sur elle les yeux fermés :

- Tu vois Lahia !? On me dit que je suis une imbécile quand je cherche à agrandir ma collection de sous-vêtement et elles n’arrêtent pas de se jeter l’une sur l’autre !!!

Comme à son habitude Lahia ne répondit pas et se contenta de manger lentement sa crêpe. Les jumelles avaient finit de s’embrasser et c’était même relevée. Rikéru se retourna et vit sa patronne avec sa sœur la regarder d’un air très méchant. Elle n’eut pas le temps de faire quoi que ce soit que Lilianne l’attrapa en la serrant d’un air sadique. Rikù quant à elle se contentait juste d’un regard. Elle ne se gêna pas pour lui dire :

- Donne-moi trois raisons pour ne pas t’arracher les ailes……

En un rien de temps, Rikéru sortit tout un apanage d’excuse qui remit son trouillomètre à zéro. Puis tout en finissant les dernières crêpes, tout le monde se leva et partit à la recherche de quelqu’un avec qui finir la soirée en attendant le concours qui arrivait à grands pas. De loin, Lilianne ne manqua pas de remarquer Féli en compagnie d’une elfe inconnue. De suite, elle s’approchait de moins en moins vite en voyant la fille qu’elle admirait le plus dans un triste état. D’un pincement à la poitrine, elle posa sa main dessus. En prenant u air très triste, elle ne put s’empêcher de dire :

- Féli… Pourquoi vas-tu si mal… J’aimerais tant savoir ce qui te tracasse…

Rikù fit elle aussi un triste mine à ses mots. Seulement elles n’avaient pas vu que quelqu’un était à proximité. Quelqu’un qui l’avait vue avec Rikù patiner sur la piste un peu de temps avant…

Marchant tranquillement entre tout le monde qui s'amusait, Darts cherchait quelqu'un avec qui profité de la soirée. Après plusieurs minutes d'errance il aperçut enfin Emiko. Avec le sourire il s'approcha d'elle quand il se rendit compte qu'elle était en compagnie du prof d'art. Il se rappela alors qu'elle lui avait dit qu'elle participerait à l'organisation du concoure.

Se n'était donc pas le moment de la déranger, il repartit donc un peu déçut. De son coter Dixi était parti s'amuser sur la glace en compagnie de Lili. La soirée n'était pas très intéressante pour le moment. Finalement, il se prit un chocolat chaud et s'installa à une petite table pour le boire tranquillement.

Après plusieurs minutes passé seul à boire sa boisson, Dixi revient vers lui. Le petit mog s'approchât de Darts avec dans l'idée de l'emmerder un peu. Mais à peine arrivé que Darts lui demanda un service.

-Apporte ça à Emiko s'il te plait.

Dixi voulut protester, mais déjà il lui tendait un verre de Chocolat chaud. Après tout il pouvait bien faire ça.

-Et dépêche toi, il ne faudrait pas que ça arrive froid.

-Du calme je vais le faire t'emporte pas...

Dixi s'envola et se mit à la recherche de l'ange. Il n'aimait pas quand Darts lui parlait comme ça. Il trouva rapidement l'ange qui se trouvait au bord de la glace a fixé les patineurs. Il se posa tranquillement sur l'épaule de la jeune fille et lui dit :

-Tiens de la part du chaton grincheux. Tu lui diras qu'il n'était pas froid. Moi je retourne voir Lili.

Sans un mot de plus il reprit son envole à la recherche de la fée des eaux.

La patinoire se remplissant trop à mon goût, je ne fis pas long feu sur mes patins et m'envollais rapidement dans les airs afin de retrouver Drachen. Noël est vraiment une fête stupide ! Tout le monde sourit, rigole, mais au fond de chacun tout le monde pense : le cadeau que je lui ai offert vaut une petite fortune, si jamais il n'aime pas je le tue de mes propres mains ! ... Au pire, on fait comme moi, on apporte pas de cadeau, point. Et ceux qui avaient squattés la patinoire m'avaient échauffée ... En train de rire ! Au moins, dans les airs, j'étais tranquille. Je me dirigeais au centre de la fête et atterrissait de nouveau sur le haut du dragon. Cet endroit me fait éprouver de la nostalgie, ou peut-être est-ce juste la fête ...

Bizarre.

Je m'allongeais sur la tête de la Statue. Ce que j'avais envie, c'était d'un jacuzzi sauvage. Un trou d'eau chauffé, si vous préférez. Et cette envie me fis battre des ailes et me poussa à m'aventurer un peu plus à l'écart de la fête, ou je trouvais aisément plusieurs trous d'eau gelés, à l'instar du lac. Je déchaussais mes patins et m'avançais sur la petite plateforme gelée. Elle supportais difficilement mon poids, alors je sautais dessus afin de briser la glace. Mes ailes me rattrapèrent avant que mes chevilles s'enfoncent dans l'eau, et ensuite, je fis chauffer l'eau de ce trou. Cela me prit un certain temps et assez d'énergie, car sous ma forme humaine, la chaleur de la combustion dans de l'eau n'est pas très élevé ... Or, il était hors de question que je me transforme à moitié alors que n'importe qui est susceptible de me voir. Non merci.

Au bout d'un certain temps, donc, l'eau était à température. Elle bouillonait formidablement bien. Je m'y glissais, en sous vêtements, dans ce trou assez grand pour que deux ou trois personnes s'y installent. Mais seule, c'était très bien aussi. Drachen était allongé juste à côté de moi, près de mes vêtements, mais au bout d'un temps, il finit par partir chasser. Je profitais donc de ce jacuzzi seule, en silence, enfin, presque, les éclats de rire agaçants parvenaient tout de même à mes oreilles ... Je fermais les yeux et me laissais bercer par les bulles d'eau qui éclataient en rythme.

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