Nouvelle tête :P

Désiré était toujours sur la défensive lorsqu'un grand jeune homme sorti de derrière un fourré, suivit d'une fée. Il était blond et avait une drôle de tache sur la joue. Il n'avait pas l'air méchant. Toutes griffes dehors et katana à la main, elle lui faisait face. Venait- il pour se battre ? Est es un pervers qui l'espionnait en cachette ? La dernière option paraisser crédible aux yeux de la rouquine. Quelque chose clochait pourtant, il parraissait trop . . . "cool" pour un pervers prit la main dans le sac. A ce moment là le pervers prit la parole :

Calmez-vous, s'il vous plait, je....
j'admirais votre arme, je dois avouer que ce n'est pas tous les jours
que nous voyons un sabre japonais sortit de son support, prêt à être
utiliser...

Il était sérieux ? Désiré n'en était pas très sure. C'était peu être un pervers en fin de compte. Si s'était le cas, il manquait cruelement d'imagination. Sauf si s'était une stratégie pour l'amadouer. Dans se cas, il était rusé le renard. Sans regarder son amie, pour ne pas perdre sa cible des yeux, elle lui demanda:

"- Tu crois se pervers ?
- Pourquoi mentirait-il ? En plus il a pas l'air rassuré.
- Tu sens quelque chose de mal en lui ?
- Pas plus que ça."

Fuerza etant un animal, elle avait un sixième sens pour juger le gens. Désiré lui faisait entièrement confiance. Mais son expérience dans le monde des ténébres lui avait appris à voir au delà des apparences. Pas vraiment convaincu la jeune femme souleva un sourcil et lui demanda:

- Qui es-tu ? Et le coup du sabre sa marche pas avec moi.

Fuerza, elle, ne s'inquiétais pas plus que sa, et s'était couché au pied du viel arbre arbre en fleur. Intriguée par l'étrange créature qui accompagnait le " pervers" d'après sa maitresse.

Désiré était méfiante, et son expérience passé lui avait montré qu'elle avait rarement tord. Sauf qu'elle n'était plus dans le monde des ténèbres. Et cet homme n’avait pas vraiment l’air méchant, même pas agressif. La jeune femme écouta donc se qu’il avait à dire. Il s’appelait Morcrake, et sa Fée Insirlia. C’était des noms peu communs mais qui sonnaient bien. Ce qui étonna la jeune femme c’est le langage soutenue qu’il employait pour lui parler. Étant plus jeune que lui, elle ne s’attendait vraiment pas à une telle marque de respect. Mais le poids de la lame dans sa main lui fit vite comprendre pourquoi.
La jeune femme était entrain de les menacer, peu de gens on l’audace de se moquer de quelqu’un qui à un katana dans la main. De plus, son expérience en la matière avait l’air de l’intéresser. Il pensait qu’elle avait appris sa à l’école. Le peut que la jeune humaine savait, elle l’avait appris sur le tas, en combattant à peu près tout. En rangeant son arme dans son fourreau, la rouquine lui répondit :

-Je m’appelle Désiré, et la petite boule de poil c’est Fuerza. En temps, normal elle ne mord pas. Pour ce qui est des arts martiaux, j’ai plus ou moins appris sur le tas, je ne suis pas une pro, mais je me débrouille. Et vous vous savez vous battre ?

Le jeune homme avança vers elle, et il lui fit une courbette. Désiré ne comprit pas bien pourquoi, mais Fuerza lui donna la réponse :

« - C’est une marque de respect et de politesse. . . »

Désiré ne connaissait pas grand-chose à la vie en société, pour ne pas dire rien du tout. Même la jolie fée lui fit un petit signe. Désiré se contenta d’incliner la tête comme Fuerza lui avait apprit.

Pendant ce temps la petite fée, c’était fait un plaisir d’aller taquiner Fuerza. La jeune louve se laissait caresser. La petite fée s’extasiait devant la douceur du pelage de l’animal. Il est vrai que Fuerza était très fière de sa robe rouge. Quand la petite fée commença à la grattouiller, la louve tomba extase. Les caresses elle adorait sa et commençait à se prendre d’affection pour Insirlia. La petite fée paraissait plutôt d’humeur joueuse, ce qui n’était pas vraiment le cas de la renarde qui aspirait à un peu de tranquillité. Pour le signifié à la petite fée, l’animal bailla et l’invita, avec son museau, à s’installer sur son dos si elle le souhaiter pendant que leurs maitres discuter . . .