Arrivée d'Idril [ libre ]

Idril arriva au Passage des mondes. Elle ne pensait pas devoir un jour le Traversé, mais elle ne pensait pas non plus qu'elle entendrais ce qu'elle avait entendue.
Elle tenait dans sa main un petit sac avec quelques affaires qui lui appartenait, le minimum, elle n'avais pas pris le temps de tout prendre.
Derrière elle arriva le monstre vert Févert. Il arriva en couinant péniblement, ce qui exaspéra Idril :

- Févert arrête de Râler, s'il te plait ! Aller, on s'arrête...

A ces mots le petit dragon poussa un "cri" de joie et se mit a courir partout avant de s'arrêter brusquement et de s'assoupir de fatigue. Idril se posa t à coté de la bestiole verte, épuisée aussi d'avoir courue.
Dans quel monde était elle tombé ? Le dernier ? Celui ou tout le monde arrivait a vivre en "harmonie "? Elle se rendit compte alors qu'elle ne savait pas les bases de la vie, en dehors de chez elle...

Le soleil était haut dans le ciel, et l'air était lourd, voir orageux...

Idril sursauta et se releva d'un bond. Févert lui, se mit àcrier un son trés aigu.
Le temps qu'Idril prenne conscience que ce n'était qu'un humain et sa...fée... qui avait parlé, elle dut faire taire le dragonnet.
Idril balbutia :

- Euh... désolée.. euh.. non... euh...

Bref, elle perdit tout ses moyens. Févert se calma enfin pour regarder la petite fée, intrigué, en mettant la tete de coté.
Idril regarda L'humain. Il semblait... gentil. Mais Idril était méfiante. Ce fut Févert qui courut en direction de la petite fée. Idril n'avait pas eu le temps de bouger qu'il était au pied de l'arbre a la fixer.

Idril Fixa l'homme avec un regard neutre. Févert avait suivit la petite fée et continuait de la regarder bizaremen, il lancait aussi des régards inquiet vers l'homme qui criait fort.

- Mon nom ? Devrais je le donner a quelqun qui se permet D'appeller Févert une bestiole? Moi c'est Idril. Et vous ?

Elle regarda le jeune homme, toujours méfiante,Elle regarda ensuite la petite fée, qu'elle trouva mignone. La fée dit alors une phrase qui fit sourire Idril.
Févert couinna lorsque la petite fée parla. Févert regarda la Bestiole, qui pensait, en fait, comme la petite fée, mais bien sur, a l'encontre de sa maitresse, qu'il considerai, a lui. Il se posta alors à coté d'Idril, en essayant de prendre une position menacante, qui, vu sa taille, faisait plus rire que peur.

Févert poussa un rire en sentant la fée passée au dessus de sa tete. Idril regarda Morcrake, étonnée qu'il lui parle avec cet air méchant.

- Euh... oui, on vient, exactement, juste d'arriver...

Elle baissa les yeux alors que Morcrake "s'inquiétait".
Le jeune homme pria alors la petite fée d'arreter de jouer avec Févert. Il ne soutint pas longtemps son propos, aprés un air battu de la petite fée.

- Il est pas méchant, bruyant, mais pas méchant...

Attirée par des éclats de voix, Maïra c'était approchée de la porte du passage des mondes intriguée. Elle lisait dans le coin (comme d'hab') et comme d'hab', bien que les éclats de voix soit moindres, elle s'était sentie dérangée.

A quelques mètres de là, elle apperçut un jeune homme ainsi qu'une jeune femme, qui lui semblait être une elfe.
Ravie de trouver une de ses congénères, elle courut à perdre haleine et lui sauta au cou, sans aucune gêne.

Mi-voletant, mi-courant, son compagnon quand à lui, suivait tant bien que mal. Arrivé sur les lieux, s'appercevant que sa maîtresse avait l'air très très sympathique envers une elfe étrangère, il leur sauta dessus, les faisant tomber.

Puis, parceue la politesse l'exigeait et aussi parceque la situation était gênante, Maïra se releva, tira Guysmo et dit :
- Mi c'est Maïra, et voici Guysmo. Qui est ma compatriote elfe et l'autre là ?

En effet, l'autre garçon ne l'intêressait guère, aussi elle ne parlait qu'à la nouvelle recrue d'Orkna.

[xD c'est pour faire avancer le Rp, t'inquiète pas Morkrak ^^]

Idril vit arriver une autre elfe, elle avait l'air bien gentille, ainsi que son compagnon ( quelque chose ressemblant a un loup) mais, celle ci ne semblait pas s'intéresser A Morcrake Menethil.
Elle regarda le compagnon de l'elfe, qui se présenta comme Maïra et son compagnon comme Guismo. L'elfe l'avait pris dans ces bras, ce qui rendit Idril nerveuse. Elle répondit d'une voix qui faisait légèrement ressortir un stress évident.

- Moi c'est Idril, voici Févert ( elle désigna du doigt le monstre vert qui regardait Guismo avec une grande attention).

Elle se calma quelque peu, se disant que ça devait être les coutumes de l'endroit puis elle regarda Morcrake et fit :

- Et voici Morcrake, avec son compagnon, Insrillia.

Elle sourit a L'elfe, contente de voir quelqu’un lui ressemblant quelque peu. Elle n'avait cependant pas oublier ce qu'avait demander L'humain avant que l'elfe arrive.

Idril regarda L'humain "soigner" sa fée. Elle semblait mal en point, et quelque peu, en colere. Févert lui se rua sur Morcrake, persuadé qu'il l'avait fait exprés. Idril du l'attraper avant qu'il ne le morde. Ce fut a ce moment la qu'elle entendit ce que Morcrake voulait murmurer.
Elle recula d'un pas, elle n'était pas sure de comprendre ce qu'il voulait laisser dire. Elle regarda l'autre elfe, un peu perdue d'un coup.
Elle se souvenait d'avoir entendu nombre de prétendant dire ses choses la a sa soe... Idril se tint la tete dans les mains " Ne plus penser a elle! Non!".
Elle se ressaisi et regarda quelque peu perplexe l'humain, tenant toujours le petit monstre vert qui se débatait, voulant aller voir la fée.

- Elle n'as rien de trop grave ?

Idril s'inquiétait peu pour la fée, non pas par méchancetée, mais tout simplement car elle n'y connaissait rien et de plus, ca changeait le sujet.... Elle n'avait pas tout vu, et de plus, la réponse était plus pour calmer Févert, qui lui donnait de furieux coups pour qu'elle le lache. Habituée elle ne bronchait pas.



[ Désolée Maïra si je t'attends pas pour RP mais... n'ai envie de RP >.> alors n'hésite pas a RP dés que ta l'envie ]

Idril ouvrit la bouche pour répondre. Mais répondre quoi au juste ? Elle voulait bien, elle ne connaissait rien de l'endroit... mais il était étrange cet Humain, a dire a haute voix ce qu'il voulait ne pas faire entendre. Oui, Idril pensait encor a ca. Elle relacha Févert qui regarda vers Morcrake quelque peu agressivement. Idril mourrait d'envie de sermonner le monstre, mais répondu d'abord a la question de l'humain, qui semblait nerveux, ou qui cachait quelque chose.

- Pour votre question... euh... Je veux bien... mais je sais pas si la boule verte voudra bien se calmer, je voudrai pas qu'elle ne vous mordes...

Bien sur c'était dit ironiquement, cependant, on pouvait trés bien imaginer que les petites dent de Févert, planté dans la peau, pouvait etre trés douloureux.

- Et je voudrais pas... dérangée...votre amie....

Idril baissa les yeux.

Févert laissa échaper un piallement, qui n'avait pas vraiment de signification mis a part peut etre le fait d'approuver les dires de sa maitresse.

Morcrake sourit sympathiquement à Idril avec un air de satisfait, puis il se tourna vers l'autre elfe. Il ne prit même pas la peine de regarder les compagnons de celles-ci. Insilria, par contre, concentra sur ces dernières forces pour faire un regard de pitié à Févert.

Morcrake : Et vous mademoiselle Maïra, voulez-vous vous joindre à nous ?

Il fit une révérence à celle-ci en attendant sa réponse, en espérant une réponse positif. Sa marque commença à lui faire mal mais il n'en fit pas signe.

Morcrake : Et vous mademoiselle Maïra, voulez-vous vous joindre à nous ?
Maïra : Je veux bien ... Mais vous comptez explorer avec cette marque ?! Ce n'est pas douloureux dîtes-moi ?

La jeune elfe n'aimait pas la douleur des autres, et à voir la manière raide et les traits crispés de celui-ci, cette marque ne lui faisait pas du bien. Et puis, elle avait envie de finir son bouquin mais quelqu chose la retenait.

Maïra : On terminera notre excursion par l'infirmerie, je le sens bien (rire) Ah et au fait ! Je suis la journaliste de cette école, j'aimerais bien vous interwiever, vous seriez d'accors tous les deux ?

Après tout, elle n'avait aucune idée de ce qu'elle mettrait dans l'édition de ce mois-ci alors ....
Soudain Guysmo poussa un cris. Etonnée, Maïra fit volte-face. Et hurla. De peur et d'exaspération. Le petit loup ailé s'était empêtré les ailes dans les branches et il faudrait un bon moment pour l'en sortir. En plus celles-ci étaient étrangement tordue ...
Son compagnon poussa un cris de douleur. Exaspérée, Maïra sauta dans l'arbre, et essaya d'atteindre les branches où il se trouvait. Mais c'était impossible. Prête à fondre en larmes, Maïra lança un regard suppliant aux branches, comme pour qu'elles se transforment en escalier, pour pouvoir récupérer son ami.

Idril regarda L'elfe, de qu'elle marque parlait elle ? Idril regarda Morcrake, il avait en effet une tete bizare, mais elle ne voyait pas de qu'elle marque elle parlait.
Journaliste ? Idril se fit méfiante a l'égard de l'elfe, pourquoi interviewer quelqun qui vient d'arriver et qui ne connait rien a tout ce qui se passe.
SOudain, le compagnon de l'elfe poussa un cri plaintif. Sa maitresse se précipita dans l'arbre afin d'essayer de le délivrer. N'y arrivant pas, Idril escalada elle aussi les branches, lorsqu'elle se retrouva au meme niveau que Maira, elle vit alors que le loup était bien mal en point.
Se faufilant entre les quelques branches qui séparait le compagnon de sa maitresse, elle regarda le loup, et, doucement, de 1 pour ne pas l'effrayer et de 2 pour pas lui faire mal, d'enlever les branches qui l'empechait le plus de bouger. Cependant, elle ne pouvait que l'attraper du bout des doigts, pas facile alors d'enlever les branches, Elle redescendit et regarda la maitresse de l'animal regarder l'arbre, implorante.

- Je vous aides a monter plus haut ? Afin que vous puissiez l'aider a se dépétrer ? Je vous fait la courte échelle, et vous pourrez attraper la branche au dessus de nous, comme ca, vous pourrez essayez de le délivrer.

Son visage ne traduisait aucune émotion, neutre, en fait, elle réfléchissait. Elle regarda l'humain, toujours curieuse de savoir de qu'elle marque l'elfe avait parlée...

Soudain, voyant que ses deux nouvelles connaissances ne pourraient pas l'aider, Maïra eut une idée. Certe c'était radical, mais ça marcherait.
Elle dit aux deux autres de s'éloigner de l'arbre. Puis, la jeune elfe, se mit dos à l'arbre et fit 3 pas. Elle ne voulait pas que son compagnon la voit. Celui-ci se mit à geindre lorsqu'il la vit s'éloigner. Soudain, elle fit volte-face, et courut jusqu'à l'arbre, pilant juste devant le tronc. Et elle se mit à parler :

- Bon, puisque tu me refais comme la dernière fois et qu'il est impossible de te décoincer, je vais te laisser là et t'abandonner.

Le regard horrifié que les deux autres lui lançait la faisait rire intérieurement. Bonne actrice, elle se contint cependant, et continua sa tirade.

- En plus, ça m'évitera d'avoir à ranger ma chambre, parceque c'est pas que tu es pénible mais un peu tu sais ? Franchement, je suis heureuse que tu sache pas parler, parceque déja que la vie est impossible maintenant, amis alors si tu t'y mettais ...
Tu n'imagine même pas à quel point je me etiens tous les jours pour ne pas te frapper et te virer ... Je pense que te laissser pourrir sur cet arbre serait la meilleure des solutions, comme punition pour toi et comme libération pour moi ...

Le petit loup commençait à pleurer. Cela fendait le coeur de la jeune Maï, mais elle devait continuer si elle voulait que sa marche.

-Impossible de lire quand tu es là ! Tu sens le chien mouillé et je déteste, que dis-je, je hais lorsque tu me lèches partout ! C'est horrible ! En plus tu ne sais pas te tenir en société, tu me mets la honte où que l'on aille ... Pff j'vois pas comment j'ai fait pour te supporter aussi longtemps !

Cette fois le loups se tortillait, comme pour échapper aux paroles blessantes de la jeune elfe, tout en versant des torrens de larmes. Encore un effort, on y était presque.

- Ah si, je sais maintenant pourquoi je t'ai supporté aussi longtemps ! C'est parceque Maman m'avait dit que j'auaris un cadeau si j'te supportais plus de 6 mois ! Zut ça fait 5. Bon tant pis, j'auarsi essayé, mais là c'est impossible .. Jamais vu une bête aussi horripilante !! J'sais vraiment pas comment tu fais ...
Cette fois le loup hurla de douleur et de tristesse mêlées. Il était maintenatn à leur portée.

C'est alors que Maïra se mit à chanter, car elle aimait son loup et ne voulait pas le perdre :

Et c'est dans le ciel que l'on trouve le rire

Et dans les étoiles que les rêves se créeent

Dans les nuages que l'esprit s'inspire

Dans la pluie que se mêlent les larmes

Et vers le ciel on se tourne pour oublier

Toutes sortes de vagues à l'âme

Le coeur bat à l'unisson des marées

Et pour que jamais de fin il ne connaîsse

La mer crée ses lames salées

Pour que jamais il ne disparaîsse.

Connaîssant l'effet de ce chant sur lui, elle le chanta en boucle pendant de longues minutes, sans soucier de son auditoire. Seul Guysmo comptait. A la fin elle chuchotait presque la chanson. Très doucement, elle s'approcha et monta dans l'arbre et prit Guysmo dans ses bras.
Et fit un clin d'oeuil aux deux autres.

Idril regardait l'elfe, elle avait deja entendue des elfe chanté, c'était sur, mais une technique si, exessive, et qui marche, c'était surprenant.
Févert regardait l'elfe, abasourdi aussi, il regardait aussi le loup, se demandant si il allait bien, vu les cris plaintif qu'il avait pousser pendant l'acte teatral de sa maitresse.
Idril descendit de l'arbre et enleva les quelques feuilles et branches qui restaient accrochés dans ses cheveux.

- Surprenant Maira, magnifique et surprenant... J'me demande si ca marcherai avec Févert.

Elle le disait bien sur avec Ironnie, l'habitude des meme bétises de son compagnon. Mais celui ci ne l'entendit pas de la meme oreille :

- Non.

Une petite voix aigu, aussi maigre qu'une note de musique, ce qui surpris Idril, févert ne parlait quasiment jamais, et surtout pas devant les inconnus. Idril souriat, au moin il était toujours aussi inteligent. Elle regarda alors Morcrake, malgré son acte héroique aussi que de vouloir aidé, elle n'avait pas oublier les mots de l'elfe sur la marque...

- Hihi Idril, ça ne pourra pas marcher avec ton compagnon, car j'ai composé ce poème moi-même, juste pour Guysmo. Il n'y a que lui qui ... Non rien . Il n'y a que lui qui puisse être charmé par celui-ci. Et merci, mais je ne chante que rarement .

Puis, Maïra regarda le garçon essayer de s'extirper des brachanges. Il était comique et elle ne put s'empêcher de pouffer de rire. Après environ un quart d'heure d'attente il réussit enfin à échapper au tenace arbre.
Il sauta à terre, aussi gracieusement que possible puis la rassura sur la marque qu'il avait gagné de sa rencontre avec Févert.

- Bêtounet ?! C'est quoi ce nom idiot ? Et pour ce qui est des gaffes, j'ai l'habitude, surtout avec lui (rire)

Elle sentit soudain le bras du jeune homme autours de sa taille. Par réflexe, elle lui fit une clée au bras, puis lui colla une giffle bien sentie, tout ça en quinze secondes. Guysmo, sentant l'agressivité de sa maîtresse et voulant lui faire oublier son éclat de tout à l'heure, envoya une petite décharge à Morcrake.

Maïra finit sa prise qui avait mit le jeune homme par terre, par un coup de pied au derrière relativement puissant, et le laissa se relever.

- Désolée, je n'interwieve pas dans ces conditions. Evitez les mains baladeuses quand vous ne connaîssez pas les gens.

Idril regarda Morcrake et fit enfin attention a son physique, chose qui depuis le début, l'avait completement laissée de marbre. Ce qu'elle croyait etre une simple tache de naissance était en fait cette fichu marque. Ce qu'elle représentait ? Aucune idée. Le bras qu'il passa autour de sa taille ne le resta pas longtemps par la magnifique démonstration de sport de l'elfe.
Févert suivait idril au pas, ne semblant pour le moin du monde fatifué.

- Je vous suit ! Je ne connais pas les environt, et, j'avoue que, j'aimerais connaitre un peu plus... Cependant, je voudrais, essayer du moin, de répondre, peut etre , A Maira...

Elle s'emmelait, autant de monde qui lui parlait, c'était rare. Févert s'accrocha a sa maitresse, la démonstration de guismo en la foudre ne l'inquietait pas, mais il ne voulait pas que le loup fasse la meme chose a sa maitresse.

- Sachant, mademoiselle Maira, qu'en disant ca, je ne voulais pas dire exactement la meme chose, je parlais du contexte, désolée de m'etre mal fait comprendre...

- Bon si vous le dîtes Morcrake. Excusez-moi de mettre laissée emportée, sachez juste que je n'aime pas être touchée sans m'y attendre, j'ai été surprise. Ne m'en voulez pas s'il-vous-plaît.

Maïra lui remit une mèche de cheuveux, comme pour se faire pardonner.

- Idril ! J'ai parfaitement comprit, ne t'inquiète pas ! Bon, puisque vous Morcrake ne voulez pas participer, après tout vous en avez le droit, je ne poserais de question qu'à Idril. Si sur la Fin, en vous apercevant que je me fiche de votre vie privée et que c'est uniquement pour le journal que je fais ça, vous voulez nous rejoindre, vous pouvez.

Et toc ! Pensa l'elfe. C'était sa manière à elle de lui dire qu'il était le bienvenu. Mais bon, cela lui faisait bizarre d'être aussi familière avec lui qu'avec Idril, surtout après l'avoir mis à terre.

Bon, l'heure de commencer l'interwiew avait sonné. Elle appela Guysmo pour lui demander de tenir son livre. Puis, se ravisant, Maïra dit à Morcrake, passant du vouvoiement au tutoiement en un claquement de doigts :

- Euh ... P'tètre que je devrais quand même t'ammener à l'infirmerie non ? Je pourrais vous emmener vous promenner tous les deux après ce serait plus pratique ? Comme ça tu pourras poser ton sac Idril et toi Morcrake tu pourras au moins aller faire examiner tout ça non ?

En plus, elle n'avait pas son matériel avec elle, c'était moins pratique. Certe elle puvait retranscrire de mémoire casiment tout un dialogue, mais cela nécessitait que pendant celui-ci elle soit totalement concentrée. A voir ...